Les retours de Soso.com

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Sri Lanka


Mes plages coup de coeur au Sri Lanka...

Tout périple au Sri Lanka se termine par une session playa, isnt'it? Voilà une petite sélection de mes plages préférées, au sud de l'île... 

 

 

  • MARAKOLLYIA BEACH:
  • Parce qu'on y est tranquille, vraiment.
  • Parce qu'elle prolonge Rekawa beach, où on peut voir les tortues pondre à la nuit tombée. Houuuu c'est choupinouuuu... Mais attention! On les dérange pas avec des flashs d'appareil photo hein?
  • Parce qu'on y trouve plein de coquillages fabuleux, à ramener en guise de trésor... 
  • Parce qu'un petit resto les pieds dans l'eau sur une plage, ça n'a pas de prix! Le mangrove beach cabanas est un hôtel (comptez 35 euros le chalet à même la plage) qui fait aussi Bar/restaurant. Tout y est très bon, des cocktails aux plats de poissons. Faut dire, tout paraît savoureux les orteils  en éventail sous un cocotier!  Parfait pour se reposer en fin de séjour.   https://www.tripadvisor.fr/Hotel_Review-g304142-d1229302-Reviews-Mangrove_Beach_Cabanas_Chalets-Tangalle_Southern_Province.html

 

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  JUNGLE BEACH. 

  • Parce qu'elle se mérite! Au sortir du village d'Unawatuna, il faut dénicher le petit sentier qui te fera traverser la jungle pour y accéder... En passant, tu trébuches sur un varan. Au pire, t'arrives sur un pied au paradis.  
  • Parce qu'on se croirait dans un décor de film... Les rochers et la jungle la surplombent et le coucher de soleil y est à couper le souffle.  Pas facile-facile la vie de backpackers.
  • Parce qu'un petit bar proposant des lassis à la vanille et des mojitos la domine, ça ne gâche rien, hein.  

 
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GALLE:

La plus typique des plages... En t'y baladant, tu finis par tomber sur le marché aux pêcheurs.... certes, ça pue la morue, enfin le thon. Mais l'ambiance y est ab-so-lu-ment géniale: haute en couleurs, forte en rencontres... Peut-être pas la plus idyllique, mais la plus typique, oui!

 

 

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UNAWATUNA:

Pour la clarté de l'eau et l'esprit festif que certains apprécieront...Elle est en effet bordée par une multitude de petits restos et les vagues y sont moins dangereuses que partout ailleurs. Attention! Pas moyen d'être seul par contre... en rentrant de la plage, on se précipite dans ce petit havre de paix, appelé le Sunil Garden pour y siroter tranquillou un smoothie vanille ou manger une part de gateau. La cour intérieure est fabuleuse, faite de petits canapés et décorée de photos d'artistes.... On adore! 

https://www.tripadvisor.fr/Restaurant_Review-g644047-d4724855-Reviews-Sunil_Garden_Coffee_and_More-Unawatuna_Galle_Southern_Province.html

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Bien sûr, si tu trouves que ces paysages sont pas terribles- terribles, tu peux toujours décider de rentrer en France directement. On t'en voudra pas. :D

 


06/02/2016
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le livre de la jungle.

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Ce qui est sympa au Sri, c’est de pouvoir observer, sans jumelles et en toute liberté, une faune tout de même bien exotique :

Exemple typique : le varan.

A la 1ère apparition (toi tu déjeunes tranquillement face à la mangrove de Tangalla et hop ! tu t’étrangles avec ton pépin de papaye. Pour cause : l’énorme animal nage tranquillou devant toi. Il est 8h du  mat.), tu te dis : « tiens, c’est sympa, ça change des lapins »

 

A la 2ème apparition  (tu t’apprêtes à rejoindre Jungle Beach, une plage splendide à quelques kilomètres d’Unawatuna et là, tu trébuches sur l’infâme qui connait parfaitement le sens d’une priorité à gauche.),  tu te dis : « Si j’avais su, j’aurais révisé le code de la route du varan ».

 

Mais quand, à la 3ème apparition[1], tu t’exclames naïvement lorsque tombe sur ta banane plantain quelques gouttes provenant de l’auvent de la terrasse : « oh ! Sympa ! Une petite pluie pour rafraichir l’atmosphère … »,   Ton hôte, lui, entreprend urgemment l’évacuation de ladite terrasse parce que c’est le varan qui fait pipi du grenier, là, tu te dis : « c’est du lourd la faune ici. »

 

Bon, sinon, tu auras sûrement l’occasion de croiser sur le bord d’une route, l’animal sacré du pays. J’ai nommé : l’éléphant. Symbole d’eau et de vie,rappelons-le. Avec un peu de chance, ce sera un éléphanteau attablé devant un bon stock d’ananas sur le bord d’une route, et là, tu fonds.

 

Ceci dit, il faut t’attendre à faire quelques rencontres… locales, dirons-nous.

Tout d’abord, il est utile de préciser qu’il est primordial de se munir de produit anti-moustiques (plusieurs flacons, de plusieurs marques pour la peau ET pour les vêtements) Parce que ces saletés, si lâches soient-elles, (elles attendent la nuit pour attaquer sournoisement) sont tout de même assez irascibles….On n’oublie pas non plus de se revêtir d’une djellaba qui permettra, le cas échéant, d’offrir une protection supplémentaire…

 

Un truc qui est sympa aussi, c’est l’épisode salle de bain. Toi, tu émerges paisiblement d’un bon gros dodo réparateur et tu aperçois une chose noire et ronde qui semble-t-il….. bouge. Les connexions neuronales sont maintenant activées : il s’agit donc de quelque chose de VIVANT ! Et là, en une seconde, tu es réveillée : c’est un cafard ! Il faut apprendre à vivre avec. C’est comme ça.

Le sri, c’est quand même un super pays, doté d’une faune riche et surprenante que tu peux croiser dans bon nombre de réserves naturelles et autres parcs. Uda Walave, Yala, Minneria… On y croise des buffles, des crocodiles, des vautours, des aigles, des singes et même des guépards.

C’est aussi l’un des rares pays où, en pleine ville, les tuk-tuks font un détour pour éviter deux chiens copulant au milieu de la route. Scène de vie.



[1] Je tiens à préciser que toutes les anecdotes racontées ici ont été vécues pour de VRAI. 


29/01/2016
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Histoire des transports au SRI LANKA.

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« I WANT TO STAY ALIIIIIVE » : tu peux, toi baroudeur qui empruntes les transports en commun locaux, ressasser cette prière pendant toute la durée des trajets. Bien sûr, tu peux varier les tonalités : en transpirant, les genoux crispés et la mâchoire serrée, en fermant les yeux – solution la plus lâche certes, mais peut-être la plus confortable -, en te convertissant illico et t’en remettre à Bouddha qui peut-être, pourra quelque chose pour toi…  Parce que sache-le : tu reconnais un driver sri lankais à sa capacité d’adaptation (traduire : doubler, sans aucun rictus trahissant un sentiment occidental - type stress, nervosité…-  un tuk-tuk + un autre bus en évitant l’intrépide varan qui choisit LE bon moment pour traverser celui-là)  et sa dose d’ingéniosité qui lui permettra de faire rentrer 90 personnes dans un bus pouvant en contenir 45 en hurlant comme un putois qu’il y a encore de la place.

Il est donc absolument inutile d’espérer une place assise ou un peu de confort lors d’un voyage au SRI LANKA.

Bien sûr, une espèce de désordre règne un peu partout, et toi, européen-organisé-comme-il-se-doit tu cherches, un peu perdu, des points de repère rassurants : Logique ! Rationalité ! Organisation ! GPS ! Informations stables et durables !  GRAVE ERREUR.  Tu dois faire le deuil de tout ça.

Mise en œuvre empirique du système absolument chaotique dans lequel tu te trouves désormais : toi, tu cherches simplement à te rendre à Unawatuna, la ville d’à côté. Tu cherches donc un bus. Tu arrives à 18h à la gare des bus. Comme tu ne lispas le cingalais, (mais quelle cruche aussi !) tu demandes dans ton approximatif anglais quel peut bien être  celui qui t’y amènera. Et là, c’est terrible. Tous tes repères sont annihilés. « It must be this one OR this one » « C’est le bus bleu ! » « Non! C’est le rouge. » « écoute chéri, théoriquement, il devrait partir dans 5 minutes du coin là-bas » « ah non non, le gars m’a dit : attends à CE panneau… » . Leçon n°1 : il n’y pas de théorie au Sri lanka.

C’est pas comme si tu transportais ton chez toi sur ton dos (tiens ! t’es devenu un escargot) et que les 27 allers-retours dans la gare te feront perdre 6 litres d’eau en 10 minutes...

En définitive, nous sommes montés dans un bus GOLD, ni bleu ni rouge, 48 minutes après les 10 prévues, environ 100 mètres plus loin que le fameux « coin » qui nous avait été indiqué… Mais on n’oubliera pas ce petit pêcheur qui est resté avec nous tout au long de notre tâtonnement anarchique. Il était seul depuis le tsunami, sa femme habitant trop près de la mer pour pouvoir fuir la vague anormale. On a partagé une clope, il s’est excusé de ne pas pouvoir rester encore un peu. Son bus arrivait. 

Concluons : prévois un bon déo et enjoy your trip : au dessus d’un sari, tu apercevras de grandioses plantations de thé, des villes qui grouillent et qui vivent, des flashs fugaces qui amènent vers le large….



05/01/2016
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Sri Lanka, le condensé en musique!

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Si tu fais un road trip au Sri attends-toi à revenir   changé : t’as vu des merveilles en vrac, t’as tripé 6 heures assis sur un marchepied d’un train brinquebalant au dessus des plantations de thé, t’as pleuré devant un lever de soleil sur la savane, tu t’es extasié face à la mangrove, t’as manqué de t’étouffer avec un petit rice curry de rien du tout, t’as kiffé la vie dans ton hamac sur la plage et tu t’es dit :

ATTENDS-TOI A REVENIR TOUT COURT !


29/11/2015
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